Raliez-vous à moi et tuons la déesse (PV: Brooke)

Mes rencontres diplomatique se déroulait fort bien, les Ases avaient accepter de se rallier sous ma bannière, ou plutôt d'unir nos effort dans un but commun, je leur avaient donner un nombre non-négligeable d'ouvrier mort-vivent pour leur tache les plus dangereuse et épuisante. La population local leur avaient cracher dessus jusqu'à ce qu'une abomination fasse le travail qui aurait surement tuer quelqu'un. Les Ases avaient compris une chose: les mort-vivent n'étaient pas tous forcément mauvais. Ils étaient comme une arme, c'est celui qui l'utilise qui est dangereux, pas l'arme en sois. Sur le chemin de mon nouvel objectif: le Pays des Nymphe, je rentra a la Nécropole pour changer les mort-vivants, j'opte cette foi pour deux âme en peine vénérable, d'une taille de 5 mètre, il ne s'en laissa pas imposé par n'importe qui. Je pris quelque spectre avec moi, encore, par mesure de précaution. Je fis ensuite ma route, trois jours a dos de monture mort-vivent, encore une foi, ce qui fut très long. Je décida alors de me reposer sur la plage avant de reprendre route, les spectres surveillaient mon sommeille comme si leur vie en dépanadait, la plage habituellement pleine étaient déserte au matin, pourtant aucun de mes frères n'avaient bougé. A mon réveille, je vit un messager arriver vers moi, il me tendit une lettre écrit:


«Bonjours,


c'est seulement pour vous annoncer que les sans abris des villes Ases on bien été installer dans la Nécropole a l'aide des morts-vivent, sachez que nous vous rendrons visites dans les prochains jours, merci de votre collaboration et bonne chances dans vos prochaine négociation.

Olivier, Diplomate Ases.»


Intéressant, ils peuvent bien, la dracoliche runique sans reconnaitre les allier des ennemies. Je me reconcentra sur mon objectif: la ville des Nymphe, ils pouvait être de bon allier, je demanda a mes 12 frère de me suivre. Nous nagions vers la villes des Nymphes.


Une foi en bas, les jolie jeune dames nous accueilli avec des armes, persuader que nous voulions attaquer, je leur répondit alors:


-Je suis là pour parler diplomatie avec votre reine, pas pour me battre, les spectres et les âme en peine vénérable sont seulement une escorte, si j'avais l'intention de faire tomber votre Pays, ce ne sont pas que les âme en peine qui serais ici, mais toute une légion de mort-vivent.

Les Nymphe me regardait armes a la main, les âmes en peines semblaient les effrayer, je sachant pas a quoi s'attendre des deux monstre qui était avec moi. Elle s'exclama a ses troupe:

-Ceci, est une menace, elle se retourna cers moi et me dit alors: Approchez et sans vos monstre, cela serait un bon début, nous ne savons strictement rien de ses chose qui vous accompagne.


Je soupira de lassitude, faisant un petit cocus avec mes frère immatériel et leur disant:

-Mes frères, si jamais je ne suis pas de retour ans 5 heure, venez me liberer, partez a ma recherche dans deux heure.

je me retourna vers les géant et leur dit:

-Si jamais les spectres n'y arrivent pas et que je ne revien pas dans 24 heure, va voir la dracolicue runique et dit lui que la guerre est déclarer et de venir réduire ce royaume a néant, qu'il le fasse disparaitre de la surfasse de la terre.

Je me retourna des les dames et leur disant ce que j'avais dit a mes frères pour me montrer un minimum honnaite. Elles se saisis de moie t m'amena en cellule a des fin interrogatoire a mon sujet. je n'attendit pas longtemps. une autre Nymphe arriva sous bonne escorte: Bingo, la reine était venu d'elle même me parler.

La jeune Reine marchait pensivement dans ses appartements royaux. Qu'allait-elle faire aujourd'hui ? Elle n'avait pas prévue de rencontre diplomatique, ou encore divers visites. Brooke n'avait rien planifiée, tout court. La Nymphe bleue s'avançait vers la fenêtre avant d'y jeter un regard ennuyé. Rien à horizon, donc rien à signaler. Tout semblait calme. Les Nymphes s'occupaient de leurs activités quotidiennes ou encore, certains entretenaient soyeusement leur magnifique royaume sous-marin. Zaruso se retournait et s'avançait doucement vers son lit, avant de s'y installer les fesses. Que pouvait-elle faire ? Ses sujets semblaient capables d'entretenir le royaume seuls. Brooke n'avait donc pas besoin de venir les aider pour ce point. Elle lâchait un soupir ennuyé avant de se laisser tomber sur le dos. La femme fermait les yeux, espirant doucement l'air. Puis, l'idée de se pratiquer au combat traversait subitement son esprit. Un large sourire s'étirait finalement sur son visage ennuyé, tandis que la jeune Reine se levait d'un bond.

- Pourquoi n'y avais-je pas pensée plus tôt ? Que je suis bête…

Brooke souriait sur cette pensée et se dirigeait vers la porte. Elle ouvrait cette dernière et partit en trombe vers le hall. Son ancienne gouvernante, surprise, l'observait avant de lui hurler dessus.

- Majesté ! Qu'est-ce que c'est ces manières ?! Je ne vous ai pas élevée ainsi ! Sacré Dieu ! Brooke !
- Pardonnez-moi ! Je suis pressée ! Je vous promet de ne plus jamais le refaire !
- Brooke !

Sans s'arrêter, la jeune Reine lui envoyait la main dans les airs, éclatant d'un rire sonore. Même si sa gouvernante avait prit soin de l'élever de la manière la plus noble, Brooke n'avait toutefois pratiquement jamais changée. Elle avait garder son caractère enfantin et son envie de s'amuser jusqu'au boutBrooke tournait et arrivait finalement à la salle d'entraînement de combat. La jeune Reine ricanait et s'avançait vers la pièce. Évidemment, il n'y avait pas juste Zaruso dans la salle. Il y avait également huit Nymphes guerrières qui s'entraînaient d'arrache-pied. En se saisissant d'une lance et d'une épée, la jeune Nymphe s'avançait vers l'attroupement, le sourire toujours accroché sur son visage.

- Pourrais-je m'entraîner avec vous ? Je m'ennuie dans mes appartements à tourner mes pouces…
- Bien sûr, Milady Brooke.

Les Nymphes combattantes se mirent tous en position de combat. Chacunes observaient espièglement et mutuellement les autres. Finalement, la plus jeune combattante attaquait Brooke. Celle-ci sursautait avant de bloquer gracieusement l'attaque. La Reine piquait vivement l'air de son épé, tranchant légerment le chandail d'une des guerrières. Les coups se multipliaient par trois, obligeant Brooke à travailler plus fort. Son front se perlait de gouttes de sueur à force de frapper. Puis finalement, une voix tremblante résonnait dans la pièce. Les neuf femmes tournaient quasiment leurs têtes en même temps, s'arrêtant aussitôt. Une jeune Nymphe de dix ans se tenait debout devant la porte, le visage assez blême et apeurée. Brooke fronçait légerment le nez et s'approchait de la petite. Zaruso se penchait en hauteur de la petite, saisissant doucement ses épaules.

- Qu'est-ce qu'il se passe, petite princesse ?
- R-regardez dehors, Majestée… I-il y a des gens… Il y en a treize… Mais vos guerrières de 1er vont les exiler dans vos cachots…
- Je vois… Merci, petite princesse… Tu peux y aller…, disait-elle en souriant doucement. Quant à vous, vous venez avec moi au cachot. Je me demande qui cela peut-il bien être, à me déranger durant mon entraînement ! Gardez-vos armes. On ne sait jamais.

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